Les jeunes de 12 à 16 as ont tant l’esprit de compétition dans la tête qu’il est difficile de les en sortir pour parler de coopération et d’entraide. Et c’est cette même Éducation qui les a conditionnés ainsi qui prétend leur enseigner le contraire par la nouvelle réforme.
Il s’agit d’une généralisation des ‘’savoirs’’ théoriques (des dominants) au Primaire et au Secondaire : et qui n’est que prétexte à mater la masse. Elle est fondée sur la toute puissance des hiérarchies politiques administratives et économiques. Elle ne libère pas de l’Esclavage : elle est l’Esclavage-même car elle crée les distinctions malsaines entre les humains et, le mensonge qu’il y ait des gens meilleurs que d’autres.
EMPÊCHER LES JEUNES DE CHOISIR CE QU’ILS ONT ENVIE DE FAIRE : C’EST ALLER À L’ENCONTRE DE NOS MŒURS LIBÉRALES ! Et pourtant, c’est ce que font les cours obligatoires !
LES MAUX ENGENDRÉS PAR L’ÉCOLE OBLIGATOIRE : :
· Le décrochage
· Le doublage
· La déprime, la dévalorisation, des pensées suicidaires, …
· Etc…
L’École Primaire et Secondaire vise-t-elle au plein épanouissement de la personnalité humaine? La réponse ne fait aucun doute, elle est négative! Que l’école soit inadaptée aux jeunes est un fait.
La classe : après la famille et la nature, quelle autre belle occasion pour échanger, se confier, communiquer, apprendre et s’apprendre ! L’École ne doit plus être est un milieu clos imperméable aux expériences du monde.
La pédagogie actuelle procède encore comme si l’école était le seul endroit où le jeune acquiert des connaissances et développe son esprit.
La première mission fondamentale de l’école devrait être d’assister la personne dans son désir d’apprendre à être, à devenir et à se situer. La classe doit disparaître et les jeunes ne plus se tourner le dos (utiliser des tables rondes pour que tous les jeunes se voient de pleine face). Plus de relations maître-élève. Les jeunes peuvent y travailler au choix : individuellement ou en groupe, s’exprimer et communiquer.
Toute éducation doit s’appuyer sur les besoins et les intérêts NATURELS des jeunes !
La barbarie moderne devenue classique et normale : au nom du profit, ressemble à l’idéologie de la ‘’Race Pure’’ et parfaite d’Hitler.
BIEN DES ÉLITES PENSENT AINSI : <<>>
VOICI, COMMENT L’ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL CONDUIT À LUI SEUL AUX POSTES DE
<< productid="LA FOIS CAMOUFLÉES" st="on">LA FOIS CAMOUFLÉES ET JUSTIFIÉES >> p. 66 Bernard Charlot
L’Éducation a pour mandat non officiel de maintenir l’ordre et la quiétude sociale, et ce sont entre autres les raisons qui la poussent à reproduire les classes sociales existantes : nous, ces couches sociales assimilables dites ‘’inférieures’’ par les classes dirigeantes et bourgeoises. L’appareil scolaire accuse une place privilégiée dans la super structure du mode capitaliste, car il est de tous les appareils idéologiques, le seul à inculquer l’idéologie dominante sur la base de
L’École Générale (pensée depuis un siècle comme un mouvement de démocratisation et d’unification sociale) n’a pas le moins du monde supprimer la situation opposée des classes exploitées et de la classe dominante par rapport à l’école. Et ce sont les élèves qui subissent le mécanisme de la reproduction capitaliste et de sa dictature !
LES DÉS SONT PIPÉS.
L’Éducation dessine les inégalités sociales. Les jeux sont faits dès 12 ans, et souvent bien avant ! <<>> p.56 <<>> André Frappier et Madeleine Tremblay
Les gouvernements maintiennent la majorité des gens sur l’assistance sociale, le chômage, désinformé, … afin de les rendre dépendant de son système.
Il est évident, en effet, que les classes dirigeantes, se sont données la peine de confier tous leurs enfants à un système scolaire qui les favoriserait.
FAST-FOOD ÉDUCATIF
À la fin des années 1960, l’Éducation s’est Étatisée. Elle est devenue une véritable industrie de ‘’tri’’ et de diplômation !
CE MOUROIR DE L’AUTORITARISME
Ce qui se cacherait derrière
L’ENSEINEMENT GÉNÉRAL EST UNE GÉNÉRALISATION DE
Nos Écoles sont à la remorque de l’Administration ( l’Administration scolaire c’est le Ministère de l’Éducation ) scolaire.
Il ne suffit pas de compenser les inégalités sociales : il faut cesser de les engendrer !
L’Éducation, est devenue obligatoire aussi pour protéger les classes dominantes en empêchant à la base
L’École publique c’est l’École des pauvres.
Le goût d’apprendre est inné chez tous les jeunes : pourtant l’école le fait perdre à plusieurs !
Nous nous questionnons et doutons de la pertinence des cours obligatoires.
Voyez les méfaits et les conséquences de
Accentue les inégalités sociales.
À chaque année, plus de 121 000 jeunes subissent la honte du rattrapage scolaire.
Relègue des jeunes dans des voies sans issues et de futurs chômeurs auxquelles ils sont destinés.
L’Éducation ne doit plus être vouée ni dirigée nécessairement vers l’Industrie seulement : elle doit avant tout être centrée sur les personnes et leurs véritables besoins et leurs quêtes d’identités.
LES COURS OBLIGATOIRES COMPROMETTENT GRAVEMENT
L’École n’est pas un ensemble de services offerts à tous les individus, c’est un service obligatoire. Avez-vous déjà vu ça un service obligatoire : si ce n’est à l’armée en temps de menace de guerre !
Depuis plus de trente années d’obligation scolaire : combien l’école a-t-elle générée d’Assistés sociaux, de chômeurs et de diplômés sur l’Assistance sociale ?
L’École Obligatoire fait la même chose que les missionnaires au Québec en 1634 faisaient en soustrayant les enfants autochtones de l’influence de leurs parents pour les assimiler au mode de vie des conquérants.
AUX VICTIMES DES COURS OBLIGATOIRES.
L’Éducation forme le futur consommateur, elle cultive la paresse, elle culpabilise en transférant ses erreurs et ses vices sur le dos des élèves !
ET SI LES COURS OBLIGATOIRES DEVENAIENT SECONDAIRES POUR PLUSIEURS JEUNES ?
L’Obligation scolaire de la maternelle au 3e secondaire, une sorte d’assurance-éducation qui n’a pas été une bonne garantie. D’ailleurs, elle n’a rien couvert du tout, ni l’avenir des jeunes, ni leurs desseins. Elle ne s’est garantie que sa propre subsistance!
SCOLARISONS L’ÉCOLE : ELLE A BESOIN D’ÊTRE ÉDUQUÉE ! Cette lobotomie scolaire. L’École, cette asile inviolable et lobotomisante.
L’ÉDUCATION FAVORISE LA LUTTE DES CLASSES
L’ILLUSION EST TOTALE.
Nous sommes dupés, car la seule démocratie qu’il y a c’est pour les classes socialement favorisées.
Tous croient qu’en travaillant fort à l’école, ils pourront espérer un jour occuper un poste complexe de la hiérarchie sociale, … hélas ce n’est que rarement le cas.
La classe laborieuse (de base et du travail).
DES ÉCOLES DE
L’Éducation idéale n’est pas de préparer à un rôle futur d’agent productif, mais de construire l’être et d’accroître sa liberté. Elle ne doit plus fonder ses pédagogies sur des méthodes d’avilissement et de clivage favorisant l’exclusion.
L’École idéale ne cherchera plus à former les jeunes, mais à leur créer un environnement idéal de développement. Elle leur donnera du contrôle sur leur vie.
L’Éducation doit assister l’être humain dans le développement de toutes ses potentialités afin qu’il puisse déterminé le sens de sa vie et celui de son environnement, condition essentielle du bonheur, et qu’il soit également en mesure de planifier un univers plus conforme à ses aspirations fondamentales.
Depuis longtemps que les médias dénoncent que les finissants des écoles secondaires ne maîtrisent pas leur français, et qu’ils sont incapables de comprendre une phrase, une réflexion quelque peu élaborée ! …
Tant et aussi longtemps que l’Éducation restera inchangée dans ses bases, le monde ne changera jamais même dans ses meilleures améliorations : car l’Éducation sert la classe dirigeante.
Sortir de l’élite-de-l’élite.
Un jeune valorisé et heureux, n’a pas besoin de recourir à des paradis artificiels comme la boisson, les drogues, etc. Pour cela, il faut encourager les jeunes à vivre leurs propres expériences pour qu’ils développent la confiance en eux.
Augmenter leurs perceptions de leurs compétences.
On doit faire connaître aux jeunes des réussites significatives pour qu’ils voient comme ils sont bons, utiles et aimés.
LA FORMATION GÉNÉRALE ÉLITISTE INPOSÉES ;A DES PERSONNES D’ÂGES MINEURS
À la fin des années 1960, l’Éducation s’est Étatisée. Elle est devenue une véritable industrie de ‘’tri’’ et de diplômation !
L’École Générale (pensée depuis un siècle comme un mouvement de démocratisation et d’unification sociale) n’a pas le moins du monde supprimer la situation opposée des classes exploitées et de la classe dominante par rapport à l’école. Et ce sont les élèves qui subissent le mécanisme de la reproduction capitaliste et de sa dictature !
Depuis plus de quarante années d’obligation scolaire : combien l’école a-t-elle générée d’Assistés sociaux, de chômeurs et de diplômés sur l’Assistance sociale ?
L’Éducation, est devenue obligatoire aussi pour protéger les classes dominantes en empêchant à la base
N’oublions jamais que l’école est devenu obligatoire :
· Pour assurer l’alphabétisation des populations.
· Pour contrer l’exploitation du travail juvénile dans les champs et dans les mines.(Pourtant, aujourd’hui, tous se mettent de connivences pour voler les vacances des jeunes en les poussant à travailler durant l’été! Cela encourage le ‘’labour cheap’’ et prend la place d’un adulte , d’un parent)
COMMENT PEUT-ON MONNAYER SUR L’AVENIR DES JEUNES ?
Par des classements établis, l’école multiplie les différences scolaires sur le prétexte d’une universalité culturelle. Hélas, seuls les tests sont crédibles , le jeune devient les résultats de ses tests.
LE SOUPÇON D’ENDOCTRINEMENT PÈSE SUR L’ÉCOLE.
Que l’École ne pénalise plus jamais aucun de nos jeunes! Ce n’est pas la peur et l’inquiétude mais le bonheur qui doit se lire sur les visages des élèves.
La vie n’a pas de prix : nous valons plus que des notes; plus que des fautes de français ou d’anglais, plus que des erreurs de math!
Réduits à une simple note!
En dépit des apparences, c’est à l’École primaire que se joue l’essentiel de la scolarisation! C’est elle qui assure, sous les dehors de l’unité, La fonction essentielle de division! C’est elle qui assure l’avenir et l’orientation des jeunes. Les élèves y subissent une sélection subtile 9 en étant de séparer les bons des moins bons) regrouper par groupes homogènes.
Sur 100 élèves, 18 doublent une année et 4 redoublent ! C’est triste et inacceptable qu’on endure encore cette boucherie psychologique !
Les jeunes des familles pauvres ont des rêves légitimes, mais ne peuvent les réaliser : car l’École donne plus à ceux qui ont plus et moins à ceux qui ont moins !
Remontons jusqu’aux premières blessures scolaires.
Attendez-vous qu’ils se retrouvent dans une institution et qu’ils soient encore violentés pour ce qu’ils n’ont jamais commis?
Les jeunes, par l’École primaire, sont dépossédés de leur parole!
On leur a volé leurs rêves, leur vie d’enfant ! L’École, au lieu de jouer un rôle de promotion du jeune, joue plutôt un rôle de sélection!
C’est à l’École primaire que le jeune commence à sentir la véritable pression des valeurs dominantes!
Marqués au fer rouge de l’éche scolaire. Les élèves utilisent eux-mêmes leurs notes dans la lutte permanente que nous avons instauré entre eux!
Ces tueurs d’enfance ! L’école ravit aux jeunes ce qu’ils ont de plus précieux : leur jeunesse!
L’École cultive la paresse et culpabilise en transférant ses erreurs et ses vices sur le dos des élèves!
Les terrains de jeu sont mal pensés ! Ils sont si restreints qu’ils ressemblent plus à la ville irrespirable qu’aux sentiers serpentés de rivières bordées de fleurs et parcourus d’animaux !
Pourquoi ce document ?
POURQUOI ?
· Pour vite voir se dissiper l’agressivité et la violence chez plusieurs en redonnant écoute et valorisation
· Protéger le jeune d’une éducation clivante en tenant compte des véritables besoins des jeunes
· Pour favoriser la recherche d’identité et l’estime de soi et des autres
Il faut le dire franchement : ce qui se passe à l’école primaire et secondaire n’a absolument rien à voir avec la psychologie de l’enfant et de l’adolescent, l’instruction, etc.
On se laisse convaincre par des balivernes, par des masques : on masque aux yeux de tous ce qui se passe réellement à l'école primaire.
Ce n’est pas de savoir qui est le meilleur et la plus belle, ni qui est plus agressif et mieux syndiqué, et pas plus de savoir qui sait le mieux ramper et se conformer en se pensant bright d’être toujours du côté des plus forts, ni qui réussit mieux à l’école ou qui a les diplômes les plus importants, et on a pas besoin de savoir qui est prêt à marcher sur les autres pour se faire une place : mais de savoir que TOUS ONT DROIT À UNE VIE DÉCENTE, et qu’il est important d’être généreux et de vivre dans un monde pacifique et fraternel.
ET VOUS LOUEZ
Pourquoi l’École développe-t-elle, dès les classes maternelles, un système de dépistage des cas problèmes ? Ces écoles au service de l’État opèrent au nivellement … Tout un réseau de justifications concrètes s’est mis en place pour légitimer l’idée que certains jeunes sont inadaptés et qu’on doit les ramener à la norme. Alors qu’il ne suffirait simplement que l’École se mette au service de l’enfant !
Ainsi en est-il pour le préscolaire, le primaire et le secondaire : on souhaite que les élèves y intériorisent des attitudes et des valeurs de société assujettissantes ! La juge Andrée Ruffaut
OUF, L’ÉCOLE N’EST PAS RESPONSABLE!
Les dyslexiques de l’École primaire : Maladie mystérieuse (maladie imaginaire dont se sert l’École pour se protéger contre l’assaut des parents) chez les élèves qui commettent des fautes de lectures dont les médecins prétendent que la source est dans le cortex cérébral : ce qui dégage les enseignants et l’École-de-la-division de toute responsabilité. (L’École et ses spécialistes-blanchisseurs-et-protecteurs-du-Système).
Cet allongement du primaire n’est que l’allongement de
Entre 4 et 8 ans, les enfants sont de véritables poètes (que l’école ‘’dépoétisera’’ rapidement), de petits génies … Mais ce langage ne survit guère. Qui donc a soufflé dessus? La sécheresse de l’école, la boursouflure de l’arithmétique, le maléfice de la notation … Et vous louez la maternelle !
L’ÉCOLE PRIMAIRE ACCENTUE L’INÉGALITÉ DES DONS.
LES ÉTIQUETTES INJUSTES ET CRIMINELLES DE L’ÉDUCATION CAPITALISTE SUR DES MINEURS. Ceux qui ont des déviations intellectuelles; le débile mental léger; le débile mental moyen; les enfants qui ont des déviations socio-affectives graves; les enfants qui ont des déviations graves au niveau des apprentissages; ceux qui présentent un retard scolaire généralisé de 3 ans et plus; les dyslexiques; les dyscalculiques; les dysorthographiques caractérisés; les enfants qu’on dit avoir des déviations multiples; les débiles légers et moyens… La classe normale et les classes de transition aussi appelées ‘’effectif léger’’
DE L’HORREUR EN HORREUR. À entendre parler les enseignants entre eux, on croirait que la majorité de leurs élèves sont caractérisés par la débilité! …. Mais eux ils se considèrent normaux ????
GARDERIES ???
Mais qui voit le drame qui se déroule quotidiennement dans les garderies? Qui sait percevoir l’insécurité de vie qui s’installe petit à petit dans ces jeunes têtes? Moi, j’ai passé par là, et pour ma part, je me souviens que je ne cessais de penser à la chaleur du foyer qui me manquait, je me demandais toujours ‘’pourquoi suis-je ici’’, je ne comprenais pas l’utilité de ce qu’on m’enseignait en rapport avec mes besoins réels et journaliers, je trouvais cruel ce système qui nous séparait de la douceur du foyer pour nous asseoir ou nous imposer des jeux dont on ne voulait même pas.
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